baphilou
Nombre de messages : 188 Localisation : Pareil que là-bas Date d'inscription : 01/04/2005
| Sujet: Re: Bertrand... Mer 17 Oct - 13:46 | |
| moi z'aussi j'suis ben contente de toutes ces bonnes nouvelles : la sortie, le bébé, tout ça tout ça ... et puisque j'ai 5 mn, je vous bises tous quant au concert (à Rennes ou Nantes, ou Tombouctou, peu importe, j'y serai ...), j'en rêve moi z'aussi | |
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axelgaetan
Nombre de messages : 399 Date d'inscription : 02/04/2005
| Sujet: Re: Bertrand... Mer 17 Oct - 14:55 | |
| Tombouctou ? OK Et avec Bertrande, ça marche aussi pour moi | |
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Isabelle
Nombre de messages : 539 Date d'inscription : 02/04/2005
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zebulon
Nombre de messages : 1350 Age : 57 Localisation : ou es charlie ? Date d'inscription : 28/09/2005
| Sujet: Re: Bertrand... Ven 19 Oct - 8:39 | |
| parait qu'il recoit des menaces de mort, il parait aussi que son frere sera dans le grand journal ce soir chez denisot | |
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axelgaetan
Nombre de messages : 399 Date d'inscription : 02/04/2005
| Sujet: Re: Bertrand... Dim 21 Oct - 1:50 | |
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P'titLU
Nombre de messages : 372 Localisation : gâteaux et muscadet Date d'inscription : 01/04/2005
| Sujet: Re: Bertrand... Dim 21 Oct - 7:57 | |
| , contente de te relire à nouveau ! Merci Zeb pour les liens, j'irai y faire un tour... Aujourd'hui, je donne dans le people TROUvé dans un jourNAL SUIssssssssssse (désolée, l'accent n'est pas simple à retranscrire . D'ailleurs, c'est le ton de l'article qui m'a fait sourire...): Tout un village derrière Bertrand Cantat
Après quatre ans de prison, le chanteur de Noir Désir retrouve sa maison de Moustey. Une villa que la presse ne cesse d'épier.
«Laissez tranquille l'homme traqué»: voilà le refrain que lancent aujourd'hui, face aux journalistes et photographes, les habitants du village où s'est réfugié le chanteur à sa sortie de prison. On défend le rockeur.
Ici, à Moustey, au coeur de la plus grande forêt de pins d'Europe, on est plus habitué à la visite des marcheurs de Saint-Jacques-de-Compostelle qu'à celle d'une meute de journalistes et de photographes. Certains ont déjà débarqué dimanche dernier pour traquer Bertrand Cantat, chanteur du groupe Noir Désir, libéré après quatre ans de prison. L'homme est revenu au village lundi en pleine nuit pour se réfugier dans sa maison de campagne. Et lui et sa garde rapprochée ont tout de suite dû composer avec la pression médiatique.
La ruée des journalistes: Vendredi, à quelques pas de la maison du chanteur. Cantat est-il encore là? Le portail est cadenassé, la maison discrète aux volets bleus, fermée. Les voisins restent sur leur garde. «Il faut lui foutre la paix! Il a payé. C'est un citoyen ordinaire», lance Liliane, une canne en main. Partie avec sa belle-soeur Jeanine cueillir des cèpes, les deux retraitées passent devant la fameuse maison, tenues par un devoir quasi religieux de protection. «Cette ruée des journalistes, c'est dégueulasse! Ils ont cassé une barrière chez un voisin! On ne voyait plus le chemin. Les voitures se succédaient dans un nuage de poussière. Je leur ai dit de pas passer si vite, qu'on n'était pas sur l'autoroute.» Liliane a le verbe chantant et la phrase tranchante. Un trait de caractère dans ce village rustique où la chasse, la pétanque et le loto sont inscrits dans les gênes.
Autre trait de caractère, la discrétion. Si bien illustrée par le maire, Michel Rispal. Il a fui la presse cette semaine, mais accepte de parler à un média étranger. «J'ai tenu à le laisser arriver tranquillement. J'irai lui rendre visite plus tard pour lui dire qu'il est le bienvenu.»
Un exil vers l'étranger? On murmure pourtant dans la presse locale qu'il pourrait s'exiler à l'étranger. Impossible. «Chez nous, il peut vivre tranquillement, écrire ses chansons, poursuit le maire. Nous n'avons aucune animosité.» En effet, s'interrogent d'autres citoyens, pourquoi diable quitterait-il ses amis musiciens, sa famille et ses enfants, installés dans la région?
Tous, ici, ont suivi l'affaire, tous défendent un homme traqué et blessé. «Ce qui est arrivé aurait pu arriver à n'importe qui», explique Roland, accoudé au bar du Gascon après avoir chassé quelques heures avec sa fille. La petite âgée de 10 ans connaissait bien le fils de Cantat avant «l'affaire». C'était même son «premier amoureux».
Au bout de la rue centrale, un restaurateur défend «Bertrand», un «pur». «Tout le monde le soutient ici, explique Jacques, triste pour «la femme qui est morte», triste pour le chanteur. «Il faut être solide dans sa tête pour aller en tôle et résister.» Il connaît la famille, qui venait manger chez lui trois ou quatre fois par an. «Avant de partir en prison, Bertrand devait faire du cheval avec moi.» Il viendra le revoir, c'est sûr.
Jacques a choisi son camp et ce n'est pas celui des Trintignant. «Je me mets à la place de Madame Trintignant, mais à chaque fois qu'elle parle, elle montre sa haine.»
La haine, elle empoisonne justement cette affaire. Bertrand Cantat a reçu ces derniers jours des lettres de menaces de mort. Voilà pourquoi une dizaine de gardes du corps protègent le chanteur. C'est ce que l'on croit savoir à l'heure de l'entraînement de pétanque, derrière la mairie. Fred a vu un des «bestios» dans un pick-up américain. Un autre parle d'un hélicoptère de la gendarmerie qui aurait rasé les toits la veille. Même si Bertrand Cantat ne se trouvait pas au village vendredi, la surveillance est renforcée. Les gendarmes ont même contrôlé deux fois en deux jours «Le Matin Dimanche».
Et puis, les villageois restent marqués par l'incendie de la fameuse maison à Moustey, survenu après la mort de Marie Trintignant en 2003. Un acte probablement criminel. L'enquête est toujours en cours, s'étonnent de nombreux villageois. C'est encore ici, au coeur des Landes, que Bertrand Cantat semble être le plus en sécurité. Le journal local Sud Ouest l'affirmait hier: «Les habitants du secteur seront les meilleurs défenseurs contre les importuns.»
Un cliché exclusif à 70 000 euros? «On parlait de 80 000 euros pour un cliché inédit où l'on aurait vu Bertrand Cantat prendre son petit-déjeuner avec son ex-femme et ses enfants. Sauf que mardi, c'était tout sauf l'image de «l'ami Ricoré», celle de la famille parfaite, raconte Aude Ferbos, journaliste à Sud Ouest, envoyée à Moustey.
Mardi, Bertrand Cantat est en effet sorti quelques instants dans sa propriété, certainement pour satisfaire les médias. Depuis, l'intérêt demeure. Pas vraiment... «On sait qu'un célèbre journal est prêt à payer au moins 70 000 euros à la personne qui ramènera une photo de Cantat avec ses deux enfants. C'est du moins la rumeur qui court dans le landerneau journalistique à Bordeaux», explique Bernard Tavitian, le rédacteur en chef de France 3 Bordeaux. «On est loin de ces sommes», conteste un photographe. Qui est tout de même payé par un magazine parisien pour traquer pendant quinze jours Bertrand Cantat, qu'il ramène ou pas une photo... | |
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